Lachaine officielle de l'émission de France 3. C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science. Aux portes du désert d'Atacama, au nord du Chili, se trouve la plus grande mine
Pistespour maintenir l’attention des élèves pendant la projection. AUTOUR DU FILM Pour aller plus loin : liens utiles POUR ALLER PLUS LOIN Interview : Ale Abreu, pourquoi le dessin anim (video 4Õ) -- Þ che l ve -- corrig Article (Critikat) Regards sur le Br sil Fiche l ve Corrig LÕanimation par Norman McLaren : - Dots -Le Merle -- Synchromy-Le Coton : -CÕest pas
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Sila Gazette vous a déjà donné de nombreuses idées pour vous occuper durant le confinement, il est temps de découvrir, grâce à ce test, quel fan de la saga en confinement vous êtes ! Alors, plutôt grand lecteur ou véritable sorcier, dites-nous votre résultat dans les commentaires !
Lebut de cette page est de dédramatiser l’entretien des moyeux à freinage par rétropédalage, dont beaucoup ont l’impression, à tort, qu’il renferme une véritable usine à gaz ! Mais avec un minimum d’organisation, de calme, et de méthode, ça en deviendrait presque un jeu d’enfant. Il n’y a vraiment rien de bien compliqué
RAPPORTD'INFORMATION. FAIT. au nom de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable (1) relatif à l'évaluation de la mise en oeuvre des recommandations de la commission d'enquête sénatoriale chargée d'évaluer l'intervention des services de l'État dans la gestion des conséquences environnementales, sanitaires et économiques de l'incendie de
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FrédéricCourant, l'ancien acolyte de Jamy dans « C’est pas sorcier », est missionné par le ministère de la Transition Écologique pour « développer la culture du risque » chez les
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Lachaine officielle de l'émission de France 3.C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science.L'explosion de l'usine AZF à Toulouse, le 21 septembre 2001, nous a rappelé
niIP. Le sport est-il bon pour la santé? La question semble saugrenue, tant la réponse paraît évidente. Et pourtant... Chaque année, en France, l'effort physique provoque le décès brutal - la mort subite» - de 1 500 sportifs en pleine forme. Véritable usine à hypertension», le sport peut donc s'avérer dangereux pour le coeur. La preuve? Il suffit d'une petite anomalie vasculaire cachée pour que le marathonien occasionnel succombe sous les effets d'une hémorragie cérébrale. Vous êtes sportif? Prenez garde! Votre squelette est malmené par la pratique athlétique fractures de fatigue, écrasement des cartilages, usure des articulations, hernies discales, lombalgies, entorses, etc. L'intestin? Même régime. Votre tube digestif est très secoué, voire déréglé, pendant la course à pied. Pis, chez les femmes, l'excès de sport peut provoquer des aménorrhées, des décalcifications précoces et perturber la fertilité. Enfin, le sport peut être vécu comme un stress psychologique. Exagération? Non, les symptômes du surentraînement ressemblant à s'y méprendre à ceux de la dépression nerveuse. Alors, le sport et la santé font-ils vraiment bon ménage? Rien n'est moins sûr. Médecin spécialisé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et au centre de formation du Paris-Saint-Germain, le Dr Stéphane Cascua répond à cette question dans un livre pratique, Le sport est-il bon pour la santé?, chez Odile Jacob 1. Construit en neuf chapitres truffés d'exemples scientifiques, ce petit manuel d'école du cirque», destiné aux sportifs funambules qui jouent, sans le savoir, avec leur santé, se veut résolument pédagogique. J'ai voulu dévoiler les méfaits méconnus du sport et donner des recommandations, explique le Dr Cascua. Il faut distinguer entre les dangers d'une pratique intensive en vue de la compétition et les bienfaits du ?sport santé?.» Malgré les redondances et l'absence de développements spécifiques sur les pathologies tendineuse tendinite, tennis-elbow et musculaire claquage, élongation, le Dr Cascua a bien compris que le mot sport» était désormais polysémique, puisqu'il englobe des pratiques aussi diverses que le sport de masse, le sport professionnel ou le sport santé. Ce qu'on appelle communément ?sport? rassemble en réalité des pratiques extrêmement diverses, confirme Isabelle Queval, professeur de philosophie et ancienne tenniswoman de haut niveau, ex-membre de l'équipe de France junior dans les années 80. Il y a, d'une part, l'éducation physique et, d'autre part, le sport purement compétitif.» Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement A consommer avec modération Cette antinomie, qui colle à l'appellation générique sport», est porteuse de contradictions. Idéologiques, bien sûr, mais aussi médicales. On ne peut vouloir à la fois le bien et le mieux, poursuit Isabelle Queval. Dans le monde sportif, il me semble qu'on ne peut chercher à atteindre à la fois ces deux idéaux si représentatifs, pourtant, de notre époque la santé et la performance.» Si le champion est prêt à se faire mal» pour une médaille citius, altius, fortius, le sportif lambda recherche davantage le bien-être mens sana in corpore sano. L'ouvrage du Dr Cascua s'adresse à cette seconde catégorie de pratiquants. L'auteur montre notamment comment naissent les clichés sur les bienfaits du sport. Pour le système cardio-vasculaire, tout est parti d'une étude, menée dans les années 50, sur les employés des transports publics londoniens. Le Dr Jeremy Noah Morris mettait en évidence le fait que les chauffeurs présentaient plus souvent des crises cardiaques que les contrôleurs, note Stéphane Cascua. Il en déduisait qu'il était bon pour le coeur de déambuler dans les couloirs et surtout de monter l'escalier pour gagner le premier étage des fameux bus rouges.» Ainsi, petit à petit, le sport est devenu l'ami du coeur. Pourtant, statistiquement, le risque d'infarctus est multiplié par sept au cours d'une pratique physique. Et, pour un sportif occasionnel, cette probabilité est 56 fois plus élevée! Pis chez les adeptes de l'exercice physique, l'âge moyen de la mort subite est de 47 ans - contre 60 ans pour les autres catégories. Responsables de 85% de ces accidents mortels les atteintes coronariennes. Une crise cardiaque fatale ne se produit qu'au bout de 1,2 million d'heures de pratique physique, précise toutefois le Dr Cascua. A raison de trois heures de sport par semaine, cela représente sept mille sept cents ans d'entraînement!» Pas de panique, donc. Le dos des athlètes est aussi mis à rude épreuve. La spondylolyse - fracture de fatigue de l'arc osseux à l'arrière des vertèbres - se retrouve chez 3% des sédentaires, contre 9% pour les tennismen et 30% pour les gymnastes. Par ailleurs, 68% des judokas souffrent d'ostéochondrose vertébrale, une douleur aiguë des os situés à l'avant des vertèbres. Les cavaliers ne sont pas mieux lotis. Parmi ceux qui ont commencé à monter à cheval avant 8 ans, ils sont 66% à présenter des fissures vertébrales, souligne l'auteur. Les cavaliers amateurs en sont porteurs dans 34% des cas, alors que 7 professionnels sur 10 en sont victimes.» Idem pour les hernies discales 1 volleyeur sur 2 souffre d'une hernie ou d'un écrasement discal, mis en évidence par IRM imagerie par résonance magnétique. Et le Dr Cascua de rassurer ses futurs clients L'ampleur des dégâts est plus corrélée à l'âge des sujets qu'au nombre d'années de pratique. Une étude récente n'a pas permis de montrer que le sport favorisait la survenue de hernies discales.» Finalement, le sport, c'est comme l'alcool on doit en consommer avec modération. Il est bon pour la santé dans la mesure où il est pratiqué de façon adaptée, selon les possibilités physiologiques de chacun, résume le Dr Gilbert Pérès, directeur du département de médecine sportive à la Pitié-Salpêtrière. Et, depuis quelques années, j'ai l'impression qu'il y a une amélioration médicale de la pratique sportive.» Dans cette optique, la féminisation du sport à outrance apparaît inquiétante. L'absence de règles se montre fréquente chez les athlètes surentraînées», remarque le Dr Cascua. Les chiffres de 20 à 40% des danseuses, de 40 à 50% des coureuses de fond, 70% des cyclistes et près de 90% des gymnastes en souffrent. Et pourtant on sait que, chez les femmes, les oestrogènes augmentent pendant l'effort. Si l'entraînement hebdomadaire ne dépasse pas 40 kilomètres», précise le Dr Cascua. Pour limiter les risques, il faut pratiquer une activité d'endurance jogging, vélo ou natation de trente minutes à une heure, trois fois par semaine, à environ 75% de ses capacités cardio-vasculaires. Et ce pendant toute la vie. Un condensé des conseils que le Dr Cascua prodigue à certains de ses patients... ces sportifs du dimanche qu'il récupère encore trop souvent à l'hôpital. 1 270 p., 20,60 euros. Les plus lus OpinionsEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétiqueChroniqueAbnousse Shalmani
C'est l'un des sujets qui passionne les possesseurs d'essence en ce moment, le fameux carburant E85 qui contient donc 85% d'éthanol, et surtout qui contient beaucoup moins de taxes ... Mais la question se pose, est-ce mauvais pour le moteur de lui faire ingérer de l'alcool en lieu et place des traditionnels SP95 et 98. Nous allons donc tenter d'apporter un maximum d'éléments afin de voir si le risque est réel ou si il tient plutôt de la psychologie. J'invite, comme d'habitude, les spécialistes à mettre leur grain de sel en bas de page si jamais ils voulaient ajouter un élément ou contredire quelque chose qui ne leur plairait pas dans le texte. L'éthanol est corrosif ? C'est une chose qui revient souvent dans la bouche des conducteurs perplexes, l'éthanol n'est-il pas corrosif pour certains éléments du circuit de carburant ? Peur d'abîmer des durites ou encore les injecteurs ? En réalité, et jusqu'à preuve du contraire, l'éthanol est très loin de pouvoir facilement endommager les durites du circuit, et il suffit alors de faire le test soi-même avec de l'éthanol sur différents bouts de plastiques et caoutchoucs ne pas faire le test avec de l'alcool classique, il est moins corrosif que le dérivé éthanol. De plus, des essais grandeur nature ont été réalisés par ADINOV afin de voir si l'E85 était plus corrosif que le SP98, et le résultat de l'étude montre que les deux carburants ont des effets à peu près similaires sur les durites. Donc oui, l'E85 attaque bien les durites, mais pas vraiment plus que le sans plomb donc de manière modérée. Je vous laisse toutefois lire l'étude car il y a certaines petites finesses cliquez ici. Je constate toutefois que des magazines comme Autoplus incitent à se méfier de ce phénomène ... Le mieux reste donc de vous faire votre propre expérience en faisant baigner des durits plusieurs mois dans de l'E85 et du SP98 pour voir la différence. Concernant la corrosion de certains éléments métalliques on pense surtout aux injecteurs ce n'est pas l'alcool lui-même qui le provoque, mais l'eau qu'il contient il peut y en avoir en amont mais en occident c'est contrôlé ... pas trop de risque d'avoir de l'E85 plein d'eau à la station mais aussi en aval la condensation dans le réservoir finit plus facilement dans l'alcool que dans le pétrole raffiné, car l'alcool attire l'eau. Les deux vont alors se joindre et "s'isoler" d'avantage de l'essence. Le mélange est moins homogène et le moteur finit par brûler l'alcool et l'eau ensemble quand leur tour arrive. Information complémentaire à savoir, l'éthanol devient plus agressif quand il est mélangé à l'eau, car cela peut induire des phénomènes d'électrolyse réaction électro-chimique. Sachez enfin qu'on peut en conclure que l'éthanol est un dispersant d'eau, et donc que grâce à lui vous n'allez pas accumuler beaucoup d'eau dans le réservoir. Cette dernière sera brûlée petit à petit, et non pas d'un bloc très néfaste dans le cas du sans plomb qui ne se mélange pas avec il faut alors de temps en temps mettre un dispersant d'eau dans le réservoir. Décapant ? Si au final l'éthanol n'est pas un risque pour les canalisation et au pire ce ne serait pas un drame, précisons quand même que le côté un peu plus détergeant de l'éthanol peut potentiellement décaper le réservoir de ses impuretés et boucher potentiellement le filtre à carburant pas une catastrophe mais c'est à préciser. Donc sur des voitures plus anciennes c'est une variable à prendre en compte, les récentes n'auront pas grand chose à décaper. Auto-allumage / cliquetis ? Avec un taux d'octane élevé par rapport au sans plomb, les risques de cliquetis très néfaste à la mécanique ! sont ici encore réduits, et donc les risques que le carburant s'auto-allume comme sur un diesel est moindre. Bref, un point positif pour ce carburant "vert". Et c'est d'ailleurs grâce à cela qu'on peut en injecter beaucoup et qu'on peut donc obtenir plus de puissance de son moteur. Mélange pauvre ? C'est finalement le plus grand risque pour votre moteur, car rouler en mélange pauvre fatigue beaucoup le coeur du moteur chaleur accrue !, ce qui vaut donc le plus cher chemise, piston, segments ... D'où la nécessité d'être certain que son injection travaille comme il faut en envoyant suffisamment de carburant. Donc il faut que le calculateur envoie la bonne dose mais aussi que les injecteurs puissent être en mesure de délivrer cette dernière ! Mais sachez que l'éthanol permet justement de rouler en mélange un peu plus pauvre car il chauffe moins les chambres de combustion. Boîtier ou reprogrammation ? Pour faire simple, le boîtier est comme les puces de puissance, il ment au calculateur sur la pression de carburant pour qu'il en envoie plus. Donc si on est honnête, on reconnaîtra aisément que le boîtier est un bricolage qui n'est pas des plus propres ... A l'inverse, une reprogrammation si elle est bien faite évidemment permet de toucher à bien plus de variable, comme par exemple l'avance à l'injection et l'avance à l'allumage. Et c'est donc surtout important avec les injections directes qui sont plus pointues en indirecte on balance dans le moteur un mélange plus grossier de comburant et carburant. Pensez donc à privilégier la reprogrammation bien que le boîtier permette de se débarrasser du tout quand on le veut. Mais il n'y a pas vraiment d'intérêt à vouloir déprogrammer son auto, puisque même si vous ne voulez plus d'éthanol elle continuera à gérer parfaitement la digestion du sans plomb. Boîtier de mauvaise qualité ? Attention, même si votre moteur peut ingérer de l'éthanol, il suffit de lui greffer un boîtier mal conçu pour que ça l'abîme ... Il faut donc être vigilant sur le fournisseur et la réputation de ce dernier. Injection directe et indirecte ? Que le carburant soit injecté directement dans la chambre de combustion ou dans le collecteur d'admission, ça ne change au final pas grand chose, il n'y a pas vraiment plus de risque sur l'un ou sur l'autre, en théorie ... Il faut juste être certain que le mélange ne soit pas trop pauvre. Et pour cela il faut soit un véhicule badgé FlexFuel nativement ou un boîtier / reprogrammation quand l'injection le permet, à savoir pouvoir débiter des quantités de carburant suffisantes. Pour résumer, l'injection directe accepte tout aussi bien l'éthanol mais la reprogrammation et la modification est plus difficile à effectuer beaucoup de déboires sur les injections directes côté boîtiers par exemple, et les prestataires refusent souvent d'adapter une injection directe. Le fait est que l'injection directe est plus complexe car elle ne se limite pas à seulement à doser une quantité de carburant il y a aussi une notion de temporalité car le moment d'injection doit aussi être modifié d'autant plus compliqué quand on a une injection qui produit plusieurs jets, jets qui ont été calibrés par les ingénieurs selon une utilisation avec du sans plomb. Pas facile alors de savoir comment il faut procéder quand le moteur fonctionne à l'éthanol. Contraintes moteur ? Compression ? L'E85 implique une pression un peu plus importante dans les cylindres si je mets plus de carburant, j'ai plus de "choses" dans le cylindres, et donc j'ai plus de pression ... Et ici on envoie 20% de carburant en plus en quantité, pas en poids, cela induit donc plus de contraintes au niveau des chambres de combustion. N'oublions pas non plus la tension de vapeur qui implique que l'éthanol se vaporise plus que le sans plomb dans le cylindre, ce qui induit encore une pression supplémentaire. Et pour palier à tout ça, les moteurs FlexFuel nativement ont généralement des pistons et soupapes plus résistantes. L'injection doit elle aussi être mise un peu plus sous pression, ce qui fatigue donc potentiellement un peu plus pompe et rampe d'injection. Sièges de soupapes ? Segmentation ? On parle souvent d'eux comme étant une partie du moteur à adapter pour l'éthanol. C'est donc lié à la pression supplémentaire que j'explique juste au dessus. Si j'ai plus de pression quand mes soupapes sont fermées ouvertes il n'y en a pas de toute manière ... alors forcément j'aurai plus de contraintes sur les parois de la chambre de combustion, et là où c'est le plus fragile c'est bel et bien au niveau des bords des soupapes sièges et au niveau de la segmentation. C'est aussi pour cela qu'on constate souvent de meilleures performances moteur, un taux de compression élevé est toujours avantageux au détriment de l'usure moteur évidemment. Ethanol moins lubrifiant ? Le plus faible pouvoir lubrifiant de l'éthanol peut potentiellement abîmer certains composants de l'injection, comme par exemple le dispositif d'ouverture des injecteurs mécanique de très haute précision, surtout avec les piézoélectriques. En effet il aurait un pouvoir lubrifiant moindre, et donc la friction des pièces métalliques destinées à injecter le carburant serait plus vite fatigué. La teneur minimale de 15% de sans plomb permet toutefois de résoudre ce problème ça n'aide donc pas que pour les démarrages lorsqu'il fait moins de 13 degrés. En revanche, et cela peut paraître paradoxal, mais des études auraient montré que le pouvoir lubrifiant serait meilleur avec un mélange sans plomb / éthanol entre 10 et 50%, donc entre l'E10 et l'E50. Grosso-modo, sur une voiture standard, il vaut mieux tourner à l'E10 qu'à l'E0 à savoir sans plomb 95/98. Vous pouvez donc constater que le sujet est très technique et sournois. Si à partir de l'E50 le film de protection lubrifiant s'effondre, entre E10 et E15 on est au maximum. C'est donc mieux que du sans plomb seul ... l'E85 est en revanche pas génial de ce point de vue là , et le sans plomb est alors meilleur pour les pièces se lubrifiant grâce au carburant et non grâce au circuit d'huile comme le turbo par exemple, il se lubrifie à l'huile. Les injecteurs ou encore la pompe à injection se lubrifient avec le carburant Vieux véhicules ? Sur les vieilles mécaniques carburateur il faut être plus méfiant car il faudra adapter vous-même la richesse moteur en touchant au carburateur la richesse donc. Il n'y a pas d'électronique pour gérer le dosage à la volée, et vous risquez donc de rouler en mélange trop pauvre, ce qui peut provoquer surchauffe et usure rapide du moteur. En hiver, le froid ? L'éthanol n'aime pas le froid, il brûle très moyennement dans ces conditions sous 13 degrés il commence à déchanter, contre -40° pour le SP et c'est pour cela que l'E85 tombe parfois à 70% en hiver dans les stations essence afin de ne pas mettre dans l'embarras les conducteurs. On devrait alors l'appeler à ce moment là l'E70 ... Pour résumer, ce carburant est moins adapté pour notre pays que le Brésil qui l'a adopté à 100% depuis de nombreuses années. Mais notons quand même que certaines autos ont des réchauffeurs de carburant qui peuvent palier en partie à cela. Catalyseur ? Côté catalyseur c'est plutôt positif, et ce sur deux aspects. Tout d'abord, l'éthanol induit une température de combustion moins élevée, ce qui se répercute dans l'échappement le catalyseur chauffe moins et subit moins de contraintes il va tenir plus longtemps. Autre phénomène, les polluants émis en fonctionnant à l'éthanol; sont moins nombreux, les réactions chimiques dans le catalyseur sont donc moindres et encore une fois il est un peu préservé. Filtre à particules et éthanol, mauvaise cohabitation ? Avec la généralisation du FAP sur les moteurs essence, une nouvelle problématique est arrivée. En effet, l'éthanol induit une richesse accrue qui peut potentiellement augmenter le nombre de particules fines, ce qui aura tendance à accélérer le colmatage du filtre. De plus, avec des combustions moins chaudes, le décapage du FAP régénération qui est en continue sur les essences, et non pas temporalisée comme sur les diesels s'avère lui aussi un peu plus difficile. Résultat, avec un FAP qui se colmate plus vite et qui a plus de mal à être décapé, les soucis peuvent donc potentiellement être plus récurrents qu'avec du sans plomb. Garantie ? Une chose est certaine, dès que vous touchez à la mécanique d'une auto ou plus généralement tout objet acheté neuf, la garantie saute ... Toutefois, depuis 2017 la loi impose au fabricant des boîtiers de prendre le relais sur la garantie moteur, et donc en cas de souci c'est vers le fabricant du boîtier qu'il faudra se retourner. Et pour que cela soit opérationnel il faut installer un boîtier homologué par un professionnel agrée. L'auto doit aussi faire moins de 14 chevaux fiscaux "merci" à notre Etat de détester les possesseurs de mécaniques puissantes, une véritable honte ! et être au minimum en Euro3. Et concernant les modèles qui sortent actuellement c'est mal parti car il ne faut pas non plus de filtre à particules ce qui est le cas des essences modernes à injection directe, les moteurs sortis après 2018 grosso modo. Pour conclure, je ne trouve pas rassurant de savoir que le moteur de ma voiture neuve n'est plus garantie par le constructeur mais par un fabricant de boîtier qui peut coule du jour au lendemain. Et donc on peut conclure qu'il existe encore un frein à ce niveau. Conclusion ? Il semble donc clair que les craintes vis à vis de ce carburant vont au delà de ce que la réalité incarne sachant aussi que les SP95 et 98 contiennent déjà à peu près 7 à 10% d'éthanol, comme le diesel a d'ailleurs aussi de l'huile végétale à un certain degré. Un carburant est un carburant et ce sont surtout les propriétés chimiques qui importent ici afin d'adapter l'injection un peu comme avec un feu, si j'ai un matériaux qui brûle plus fort, j'en mets moins pour obtenir un même niveau de flamme, et vice versa. A savoir principalement l'octane auto-combustion pour savoir l'avance à l'allumage et l'avance à l'injection et le pouvoir calorifique du carburant pour la dose à injecter pour un volume de comburant donné, rapport stoechimoétrique modifié pour SP contre 10 pour E85. On peut toutefois prendre en compte qu'il est mieux d'avoir un moteur nativement Flexfuel, car il aura été pensé de A à Z par les ingénieurs, et cela peut impliquer un renforcement des chambres de combustion ou encore une injection adaptée afin d'injecter plus de carburant avec de plus grosses pressions, sans oublier qu'il faut prévoir que le carburant est un peu moins gras et qu'il a donc un pouvoir lubrifiant moindre. Le souci se pose aussi au niveau de la garantie puisqu'elle bascule vers le fabricant du boîtier en ce qui concerne le moteur. Et je doute que cela soit quelque chose qui vous inspire ... Mieux vaut que ce soit Renault qui continue de garantir votre moteur, et non pas une petite société qui fabrique des boîtiers qui peut couler ou qui peut se révéler être peu performante dans la prise en charge de votre souci. Tous les commentaires et réactions Dernier commentaire posté Par akluin Date 2022-07-14 094902 Bon article, les boitiers haut de gamme gère plus qu'un leurre du calculateur, temps d'injection, avance à l'allumage et meme adaptation en fonction du % d'éthanol grace au capteur de carburant boîtier eflexfuel, après il faudrait préciser aussi que boîtier homologué ok, reprogramation illegal Il y a 6 réactions sur ce commentaire Par Admin ADMINISTRATEUR DU SITE 2022-07-21 105122 Merci à vous ! Ne pas confondre la fonction de leurrer et ce que gère le boîtier ;- Ce sont deux choses différentes qui ne sont même pas à mettre sur le même plan Akluin 2022-07-21 110620 Totalement c'est pour ça que des kits chinois a 50¤ vont leurrer, des kits plus sérieux comme ceux d'eflexfuel vont modifier le temps d'ouverture des injecteurs, avoir un capteur d'essence pour changer son fonctionnement en fonction du pourcentage d'éthanol dans le carburant, etc. Pour ça que mettre tous les kits dans le même panier n'est pas objectif en confondant un simple leurre et une vraie gestion plus Bon sens 2022-07-24 221300 Le meilleur boîtier est celui que le constructeur a mis en place dans votre véhicule, l' ECU. Tout le reste est du business à 1200¤! La voiture est prévue équipée avec une certaine gamme d' injecteurs et donc un spectre, ensuite et pour faire simple l'analyse par sonde, et le tout relié au calculateur et donc recalcule l' avance etc. Un boîtier fait de même mais surtout il "efface" le voyant moteur c'est pour cela que certains véhicules ne supportent pas les boîtiers correctement. Donc le plus naturel des boîtiers c'est celui d' origine, certains véhicules récents peuvent recevoir 100% de E85 d'autres moins... A chacun de voir, les conseilleurs ne sont jamais les payeurs. Le seul juge de paix c'est le voyant moteur, qui vous alertera quand vous sortez des conditions optimales d' alimentation en Akluin 2022-07-24 231819 Oui pour faire simple la somde lambda indique un rapport stoechiometrique hors tolérance, le calculateur indique au injecteurs d'augmenter l'avance jusqu'au seuil du rapport de 1. Si arrivé au seuil maximale de plage d'avance des injecteurs, la sonde lambda indique toujours un mauvais rapport stoechiometrique, le voyant moteur s'allume et là , le boîtier'l'efface'? Non pas aussi simple, avec les boitiers moderne on peut voir les avances à l'allumage mais surtout le duty cycles des injecteurs et si besoin passer a des injecteurs délivrant plus, un régulateur de pression couplé à une pompe de gavage plus grosse ou plus simplement remettre une partie du plein en sans plomb pour que ce duty cycle reste aux alentours de 80-85% en pleine charge. Pour ça que certaines voitures n'acceptent pas les boitiers, juste une histoire de duty cycle dépassé mais comme dit dans ma réponse précèdente sur des boitiers reconnu pas ceux à 50¤ sur certains sites on voit ce duty cycle en temps réel Par MIRACLE 2022-07-29 221753 Akluin 2022-07-24 231819 "... et si besoin passer a des injecteurs délivrant plus, un régulateur de pression couplé à une pompe de gavage plus grosse ou plus simplement remettre une partie..." C'est dans la même veine que ceux qui préconisent de changer les durites, les sièges de soupape etc. Au bout du compte autant changer la bagnole. En résumé, soit votre véhicule peut supporter naturellement 100% de E85 ou se contenter d'un pourcentage adapté, soit vous décidez d'installer un boîtier des plus performants, qui a quand même des restrictions dans certains cas, et aussi quelques loupés. Et surtout, surtout lisez bien ce qui est écrit en tout petit dans les coins du contrat d'installation... Ouais, ouais... Au prix des pièces à changer, de la main-d'oeuvre et tutti quanti vous ferez part de la facture et du montant en bas à droite du remplacement des injecteurs, de la pompe, des nouveaux réglages etc. Et du boîtier en plus. A l' arrivée c'est deux bras que cela coûte, et les garages ont la calculette facile, toujours additionner et jamais soustraire. Pour les modèles génération E10/E5 les constructeurs ont prévu que les moteurs associés avec les accessoires qui entrent en jeu, durent toute leur existence en avalant de l'éthanol justement pendant tout ce temps. Alors les plus radins des constructeurs auront dimensionné au plus juste -si si cela existe ! Il suffit de lire tous les problèmes de faisceaux électriques trop justes au passage des hayon-, et la sonde lambda rappellera aux plus impétueux de la gâchette E85 qu'il ne faut pas exagérer. Donc chacun testera son modèle de voiture, et en plus sans boîtier -pas gratis ce dernier-, il trouvera son point d' équilibre entre le pourcentage, sa surconsommation, son kilométrage... C'est bon pour moi, filer 1200¤ pour un boîtier, des garanties "pourvu qu'il ne m'arrive rien", j'ai fait mon calcul de tout cela. 2/3 E85, même pas de surconsommation, pas de voyant moteur même quand je passe en mode sport et que je tire dessus... A l'origine c'est du E10, modèle qui était un des premiers en E5. Ceci dit n'étant pas un gros rouleur, je n'ai pas encore testé le 100%. Alors chacun fait ce que bon lui semble, un boîtier est un détrompeur qui "efface" ou "adapte", puisqu'il agit sur les paramètres constructeurs, il ne fera jamais mieux que ce qu'a prévu le constructeur qui lui a posé les limites de son architecture avec la règlementation, et adapter des pièces mécaniques cela a un coût. Les conseilleurs ne sont jamais les payeurs c'est évident, c'est à chacun de voir, et bien évidemment c'est de la responsabilité de celui qui décide de choisir ce qui semble bon pour lui. Chacun fera donc comme il l'entend, plus vous demanderez autour de vous plus vous entendrez des choses contradictoires, il suffit de lire les avis sur n'importe quel appareil de consommation. Et surtout n'oubliez pas, les conseilleurs ne sont jamais les payeurs, avec le bon sens, chacun y arrivera. Par Lulélou52/68 2022-08-06 124912 Merci les gârs pour votre mini débat éclairé et éclairant, même si je ne comprends pas tout vu mon niveau zéro en méca auto. Je retiens que 2/3 de bioéthanol sur mon Ford Tournéo de 2016 ne devrait engendrer aucun risque quasi aucun le risque zéro n'existant pas sans besoin de boitier, la reprogrammation restant illégale je crois Votre post sera visible sous le commentaire après validation Suite des commentaires 51 à 313 >> cliquez iciEcrire un commentairePour vous quelle image dégage quelqu'un qui roule en gros 4X4 en ville ?
La responsabilité sociétale ou sociale des entreprises est aujourd’hui partout. D’abord essentielle pour la planète et ses habitants, la RSE est désormais vitale pour les entreprises. Enjeu de progrès pour certaines, élément marketing pour d’autres, la RSE est aussi un sujet très sensible pour leur réputation. Pour comprendre et anticiper les risques réputationnels et business liés à la RSE, il faut déjà savoir de quoi on parle et à qui on s’adresse, mais aussi savoir identifier les menaces qui pèsent sur les matière de communication, il faut parfois savoir se taire, mais aussi être capable d’entendre ce qui n’a pas été dit. En matière de RSE, l’entreprise ne peut pas/plus se contenter d’intentions, de bonnes pratiques ou de politiques. Elle doit aussi être lucide sur les risques extérieurs, importants, mais complexes à évaluer, qui peuvent nuire gravement à sa réputation et donc, par extension, à son business !Un changement fondamental de cultureAu fil des générations, l’entreprise a donné l’impression d’être uniquement guidée par ses profits, parfois au mépris de certaines valeurs, au détriment de la société et de l’environnement. Mais les temps ont changé. Alors qu’hier, c’est le monde des affaires dont les décisions pouvaient impacter l’environnement, aujourd’hui, c’est l’environnement qui peut avoir un impact sur les sommes face à un changement fondamental de culture, que les dirigeants doivent prendre en compte dans leurs stratégies futures. La RSE devient la norme à mesure que les entreprises les plus avancées placent la durabilité au cœur de leurs activités, afin de créer de la valeur pour leurs activités comme pour la société. Aujourd’hui, il n’est plus possible d’ignorer la RSE. Elle compte dans le développement des RSE n’est ni pour ni contre l’entrepriseQuand on parle de RSE, de quoi parlons-nous ?La RSE, c’est la gestion des processus opérationnels de l’entreprise en vue d’avoir un impact positif sur la société. La RSE n’est ni pour ni contre l’entreprise. Il s’agit concrètement pour l’entreprise de réduire son empreinte environnementale, d’améliorer ses standards sociaux et d’être à l’écoute de ses parties la RSE par une simple expérience issue du quotidien dans la restauration scolaire si pendant une semaine, il est demandé aux enfants d’une école de collecter et conserver le pain qu’ils n’ont pas mangé à la cantine, à la fin de la semaine, ils récupèreront un volume de pain suffisant pour les nourrir de sandwiches pendant tout un résultat démontre, entre autres, que les quantités peuvent être optimisées. En adaptant les portions aux besoins réels, on peut, dans ce cas, réduire le gaspillage alimentaire, et avoir un impact significatif sur l’environnement, avec moins de matières premières utilisées, moins d’énergie consommée, notamment pour la cuisson, moins de travail effectué inutilement…À qui s’adresse l’entreprise quand elle parle de RSE ?À ses clients. Il ne suffit plus de vendre des produits ou des services de qualité. Le concept doit également être à la hauteur. À mesure que les clients prennent conscience des enjeux sociétaux globaux, ils deviennent de plus en plus sensibles à la RSE, et l’intègrent comme critère de choix dans leurs actes d’ ses collaborateurs. Aujourd’hui, les salariés attendent plus de leur employeur qu’une simple feuille de paie. Ils sont en quête de sens. Leur travail doit désormais leur procurer un sentiment de fierté, une raison de se lever le matin pour rejoindre une entreprise aux valeurs compatibles avec les leurs. Pour attirer les meilleurs candidats et entretenir la motivation et l’engagement des équipes, une stratégie RSE volontariste et compréhensible est désormais agences de notation extra-financières. Les clients suivent leurs recommandations, et la RSE est donc désormais un point de référence incontournable pour les elle doit aussi s’adresser aux pouvoirs émergents qui influencent la société. Je veux parler des ONG et des médias, en insistant plus spécifiquement sur les ONG politiciennes et les journalistes hostiles, qui peuvent impacter la réputation d’une organisation et de ses le fonctionnement de ces ONG politiciennesIl est vital de bien comprendre le fonctionnement de ces ONG politiciennes. Elles se répartissent en trois catégories celles qui connaissent votre entreprise, celles qui ne la connaissent pas encore, et celles qui veulent lui nuire. Pour elles aussi, la RSE est un business. Pour nous, qui devons adapter nos relations et nos réactions, ce serait une grave erreur de sous-estimer leur pouvoir et leur ces ONG politiciennes, les entreprises font face à des activistes professionnels s’appuyant sur des organisations redoutables, des formations intensives et des objectifs ambitieux. Si leur but est de faire changer la société et évoluer les opinions, ce qui est bien sûr généralement bénéfique pour tous les citoyens, c’est aussi pour elles un business. Ne l’oublions cherchent à choquer et émouvoir. Elles sont extrêmement professionnelles et utiliseront chaque opportunité afin de gagner en visibilité et lever plus de fonds pour financer leurs actions. Face à elles, beaucoup d’entreprises restent bien trop certains médias hostilesEn plus des ONG politiciennes, il faut également affronter certains médias hostiles. Eux aussi font du business, ne soyons pas naïfs là aussi ! Sur la base d’un seul article ou reportage négatif partagé en masse, une entreprise peut être discréditée, et les clients, fuir du jour au sous couverture, de préférence avec caméras cachées infiltrant sièges sociaux, usines et entrepôts, pour faire sensation avec des images volées, accompagnées d’informations supposées confidentielles, révélées par de vrais-faux employés généralement mécontents, tous les coups semblent permis pour arriver à leurs fins et pour dramatiser leurs conclusions rédigées à l’ peuvent parfois même s’assurer que les entreprises ciblées n’aient pas le temps de répondre, ou de préparer des réponses, à leurs demandes express, pour pouvoir ensuite les accuser de manque de transparence ou de collaboration. Dans ce cas, leur objectif n’est évidemment pas de comprendre ou d’expliquer, mais simplement de relayer un point de vue hostile, qu’il ne faudrait pas venir contrarier par des informations factuelles, voire des preuves qui contrediraient un reportage ou un article à conscience des risques et s’y préparerQue faire face à ces risques ? D’abord, les entreprises doivent en prendre conscience et s’y préparer. Pour tenter de garder un temps d’avance, elles doivent former certains collaborateurs et dirigeants, et être prêtes à travailler dans le cadre d’une gestion de crise. Pour la communication, elles devront utiliser des arguments simples et marquants, et ne jamais perdre de vue les messages clés en répondant aux questions posées. Une bonne pratique de la communication de crise s’ il est impératif de rester humbles. Face à une vision idéaliste de la société, soyons clairs, l’entreprise aura toujours le mauvais rôle. Pour toutes ces raisons, il est indispensable de se mettre à penser RSE, acheter RSE, vivre RSE, car la RSE fait maintenant partie de notre vie quotidienne, et parce que la RSE c’est aussi, définitivement, du business !L’intérêt économique de s’engager dans la responsabilité sociétale de l’entreprise est évident et manifeste. Les trois P personnes, planète, profit forment désormais le triple résultat. Une marque très connue a dit "Just do it". Un homme célèbre a dit "Yes we can". Je ne peux qu’ajouter "Now, we must" maintenant, nous devons nous y mettre !Frédéric Fougerat
c est pas sorcier attention usines Ă risques